Ça fait maintenant plus de 50 ans qu’on met notre expertise au service des entreprises et des agences de communication. C’est pas rien! À l’origine une petite boîte de typographie, on a évolué avec le temps pour devenir un studio tout service. Aujourd’hui, on touche à tout avec une maîtrise enviable : consultation technologique, gestion intégrée, design, production graphique, retouche, animation, production vidéo, services langagiers et plus encore.
Avec un beau palmarès de réussites et de récompenses, ici comme ailleurs, on est fiers d’être un partenaire créatif incontournable au Canada. Parmi nos clients, de gros noms comme L’Oréal, BRP, la Banque Nationale du Canada et Hydro-Québec. Et ce n’est pas par hasard que certains nous font confiance depuis plusieurs décennies – un vrai exploit dans ce secteur où tout change tout le temps!
Si on est encore là aujourd’hui, c’est parce qu’on ne lâche jamais prise sur la rigueur. Chaque détail compte dans nos méthodes comme dans la livraison de nos projets. Au début, quand on faisait de la typographie, chaque point et chaque espace devaient être parfaits. Cette obsession du détail nous suit toujours, que ce soit pour des mandats technologiques, imprimés ou numériques.
Nos 110 experts sont aussi reconnus pour privilégier le fond plutôt que la forme. On ne cède pas aux tendances qui passent, on préfère respecter et valoriser l’identité de chaque marque qui nous est confiée.
S’adapter, c’est notre truc. On est là pour épauler nos clients, répondre à leurs besoins changeants et relever des défis de plus en plus pointus. Mais ce qui fait vraiment notre force, c’est la vélocité.
Chez m&h, on va vite, mais on fait bien. Que ce soit pour une pièce unique, une série ou une campagne entière, nos 110 experts livrent à la vitesse de l’éclair, sans jamais sacrifier la qualité. D’ailleurs, on se fait dire souvent : « m&h a encore réussi l’impossible. »
Mais la vélocité, ce n’est pas juste une question de rapidité. C’est aussi ce qui nous permet de rester pertinents, d’être toujours un coup d’avance dans une industrie qui change constamment. On ne suit pas les modes éphémères : on reste fidèles à ce qui marche et à ce qui fait notre force depuis le début.
Avec l’arrivée de l’intelligence artificielle, on voit un futur encore plus excitant, plein de nouvelles possibilités créatives. L’avenir est prometteur, et on est prêts à l’écrire avec vous!
Christian Quenneville devient partenaire et associé de m&h. L’entreprise signe une entente de partenariat avec Adobe grâce à sa maîtrise absolue des outils intégrés Workfront, Adobe Creative Cloud et Adobe Experience Cloud. Elle se positionne désormais comme le partenaire de choix en production créative pour les annonceurs souhaitant produire et distribuer de grandes quantités de contenu. Elle propose également des services de consultation postimplémentation des outils Adobe, garantissant ainsi que les annonceurs tirent pleinement parti de leurs ressources.
Daniel Gendron devient Chef de la direction de m&h et cède la présidence à Christian Quenneville qui prend la barre de l’entreprise. La pandémie ayant eu raison du modèle d’impartition, m&h connaît tout de même un essor colossal sous la gouverne de son nouveau président en faisant l’acquisition de plusieurs clients prestigieux et en plaçant la transformation numérique au cœur de la stratégie de croissance de l’entreprise.
Daniel Gendron achète les parts d’Yves Langelier et devient l’unique propriétaire de m&h. Sa vision : ne plus se contenter d’être une entreprise de commodité pour les agences, mais se distinguer par sa capacité à servir directement des annonceurs d’envergure, agissant soit comme une extension, soit comme un remplacement des studios créatifs internes. Cette dualité de rôle s’avère précieuse dans un paysage où les frontières entre les fournisseurs de services créatifs sont de plus en plus floues.
Le tournant majeur s’opère pour m&h en réponse à un changement radical dans le marketing et la communication. L’explosion des canaux médiatiques et la diversification des plateformes créent un défi sans précédent pour les annonceurs : créer, produire et gérer un volume de contenu suffisant pour alimenter ces nouveaux canaux. m&h identifie une occasion unique de se réinventer, passant d’une entreprise de services de studio à une entité agile en production créative, capable de répondre efficacement à ce besoin croissant de contenu. L’Oréal devient le premier client direct du studio. Plusieurs autres s’en suivront.
Daniel Gendron et Yves Langelier deviennent propriétaires de m&h à la suite du décès subit de Peter Marsh. Les deux partenaires continuent de desservir les agences en anticipant les avancements technologiques de façon à toujours être un pas en avant pour mieux accompagner ses clients. Le modèle d’impartition donne des ailes au studio capable d’offrir à la fois des services sur place pour répondre à la demande, mais d’appeler également en renfort d’autres experts lors de périodes de pointe. Le service à la demande s’avère beaucoup plus avantageux pour les clients qui n’ont pas à se soucier de faire appel à des pigistes moins familiers avec leurs marques.
m&h se positionne comme power user des logiciels Adobe auprès des agences créatives plus sensibles à la qualité – à tout faire elles-mêmes, les grandes agences voient la qualité des livrables diminuer et apprécient la valeur ajoutée que m&h procure à leur produit créatif. En offrant la précision graphique, le souci du détail, tout l’aspect technique du prépresse et autres expertises, m&h soulage les agences du fardeau technologique et de formation en offrant sur place de services haut de gamme. Les créatifs peuvent se concentrer sur la conception, m&h s’occupe de la production. La formule est gagnant-gagnant.
Le marché de la chaîne de production graphique est bouleversé par l’arrivée du MacIntosh (1984) qui commence à faire consensus dans le milieu des agences. Avec le lancement de logiciels comme Adobe Illustrator (1987), Adobe Photoshop (1988), et QuarkXPress (1987), les créatifs peuvent manipuler des images, des illustrations, et du texte de manière beaucoup plus efficace et intuitive. Le marché de la typographie s’en trouve fragilisé. m&h doit se résigner à diminuer considérablement ses effectifs mais tire son épingle du jeu grâce à l’impartition, modèle qu’elle invente en plaçant ses experts à même les studios de ses clients.
De plus en plus de nouvelles agences de publicité 100 % québécoises voient le jour et prennent de l’ampleur par rapport aux agences torontoises ayant leur bureau d’adaptation au Québec. Visionnaire, Peter Marsh y voit là une occasion de se démarquer de ses concurrents. Il offre à Daniel Gendron un poste de représentant pour développer ce marché avec Yves Langelier. Les ordinateurs personnels commencent à faire leur apparition sans trop de bouleversement. m&h continue d’offrir ses services de photocomposition et de montage manuel de mécaniques.
Daniel Gendron, actuel chef de la direction de m&h, est embauché comme messager dans le cadre d’une année sabbatique d’études. En faisant la navette entre l’atelier et les agences clientes de l’entreprise, il se découvre un intérêt pour le métier de typographe. Il abandonne ses études de cinéma et apprend les rouages de la photocomposition et du travail en chambre noire au cours des quatre années suivantes.
Fondation de m&h Typographie par Peter Marsh. L’atelier spécialisé dessert principalement les agences de publicité montréalaises en offrant des services de photocomposition. Même si tout le travail est accompli de façon analogue, l’entreprise dispose d’équipement à la fine pointe de la technologie pour l’époque.
Au plaisir de vous rencontrer.
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